Dans l’Italie de la Renaissance, ce sont les vêtements qui sont le plus couramment mis en gage par ceux qui cherchent à obtenir des prêts auprès des banquiers juifs et du Monte di Pietà. Des robes, des chemises et même des chaussures sont mis en gage, et les vêtements féminins le sont plus souvent que les vêtements masculins. Cet article examine les divers types de vêtements que les emprunteurs — hommes et femmes — offraient de mettre en gage, dans le but de déterminer leur qualité et leur valeur, et de cerner ainsi l’identité de ces clients. En prenant appui sur cette thématique, cet article montre comment l’analyse des changements de types de vêtements mis en gage à la fin du XVe et au XVIe siècle peut nous aider à mieux comprendre les changements de motivations et d’identités des emprunteurs de cette époque.

Les chercheurs doivent citer ce travail comme suit :

• Muzzarelli, M. G., (2025), "From the Closet to the Wallet: Pawning Clothes in Renaissance Italy", HSSCommons: (DOI: )

  Copy Citation | Export metadata as... | JSON | CSV | RO-Crate | BibTex | EndNote

1. Renaissance and Reformation

Original publication: Muzzarelli, Maria Giuseppina. "From the Closet to the Wallet: Pawning Clothes in Renaissance Italy." Renaissance and Reformation 35 (3): 2013. 23-38. DOI: 10.33137/rr.v35i3.19521. This material has been re-published in an unmodified form on the Canadian HSS Commons with the permission of Iter Canada / Renaissance and Reformation. Copyright © the author(s). Their work is distributed by Renaissance and Reformation under a Creative Commons Attribution-NonCommercial 4.0 International License. For details, see https://creativecommons.org/licenses/.